Le ministre de l'Équipement et de l'Eau, Nizar Baraka, a affirmé, mardi à la Chambre des Conseillers, que le dessalement des eaux demeure une priorité pour gérer le déficit hydrique, qui est devenu structurel, compte tenu des répercussions du réchauffement climatique.
En réponse à des questions orales, Baraka a noté qu'à l'horizon 2030, l'approvisionnement en eau potable sera assuré à hauteur de 50% grâce au dessalement des eaux, rappelant que le gouvernement a mis en place un plan visant à réaliser plusieurs stations de dessalement afin d’atteindre un niveau de production de 1,4 milliard de m3 à cette date.