Le secteur bancaire marocain est exposé à des risques climatiques physiques, tels que les inondations et les sécheresses, ressort-il du rapport conjoint de la Banque Mondiale (BM) et de Bank Al-Maghrib (BAM) sur "l'Évaluation des risques physiques et de changement climatique pour le secteur bancaire marocain".
Ces catastrophes naturelles pourraient affecter divers aspects, notamment les biens immobiliers, les actifs des entreprises et la richesse des ménages, réduisant ainsi la capacité des emprunteurs à rembourser leurs dettes, explique-t-on dans ce rapport élaboré avec le soutien de l’Agence Française de Développement (AFD) et de Facility Global Risk Financing.