Les cybercriminels exploitent notre habitude à cliquer sur les tests CAPTCHA pour diffuser des logiciels malveillants. Cette nouvelle technique d'arnaque, qui profite de notre « tolérance au clic », inquiète les experts.
L'utilisation de faux tests CAPTCHA « Je ne suis pas un robot » pour infecter nos appareils, pousse HP à lancer l'alerte dans son dernier rapport sur la menace cyber. À l'heure où nous sommes habitués à multiplier les étapes d'authentification en ligne, les hackers exploitent cette routine pour nous faire cliquer sans méfiance sur des éléments malveillants. Ce phénomène, que HP appelle la « tolérance au clic », devient un vrai vecteur d'attaque privilégié chez les cybercriminels.