Au sommet pour l'Action sur l'intelligence artificielle (IA), co-organisé par la France et l'Inde à Paris (10 et 11 février), le Maroc, qui en a tôt saisi le potentiel, a fait bonne figure de ce que le continent africain peut tirer de l’IA comme promesses infinies de progrès, malgré les controverses qu'elle suscite.
Et ce n’est pas la ministre en charge de la Transition numérique, Amal El Fallah Seghrouchni, qui a représenté le Maroc à ce conclave, qui dira le contraire.
Dans une déclaration à la MAP, elle conseille de «ne pas avoir peur» de l’intelligence artificielle.