En dépit des précédentes mises au point relatives aux risques associés à l’utilisation des monnaies virtuelles du type Bitcoin, il a été constaté que des personnes physiques et morales continuent d’utiliser ce type de procédés.
Or, il s’agit d’une activité non régulée et caractérisée par une grande volatilité qui occasionne une absence de toute protection pour le consommateur, d’autant plus que ce système parait attractif et facile d’usage, indique un communiqué de Bank Al Maghrib, de l’Autorité Marocaine du Marché des Capitaux et de l’Office des changes.