Les Etats-Unis ont pour la première fois lundi déclaré officiellement que des Rohingyas avaient été victime d’un « génocide » perpétré par l’armée birmane, disant détenir des preuves d’une volonté de « détruire » cette minorité musulmane en 2016 et 2017.
« J’ai établi que des membres de l’armée birmane ont commis un génocide et des crimes contre l’humanité contre les Rohingyas en 2016 et 2017 », a déclaré à Washington le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken.