L’Union européenne a officiellement demandé, mercredi 16 juillet, la mise en place d’un panel d’arbitrage dans le cadre du différend l’opposant à l’Algérie concernant les restrictions imposées aux échanges commerciaux et aux investissements. L’UE estime que ces mesures sont contraires aux dispositions de l’Accord d’association UE-Algérie de 2002.
Par cette mesure, Bruxelles entend rétablir les droits de ses exportateurs ainsi que ceux des entreprises européennes opérant en Algérie, lesquelles subissent des préjudices en raison de ces restrictions, précise la direction générale du commerce et de la sécurité économique de la Commission européenne dans une note publiée mercredi.