Le parlement chinois a ratifié mercredi les conventions internationales interdisant le travail forcé, alors que la Chine est accusée de recourir à cette forme de travail dans sa région à majorité musulmane du Xinjiang (nord-ouest).
La ratification par la Chine des conventions de l'Organisation internationale du travail (OIT) sur le travail forcé était une des conditions posées par l'Union européenne pour ratifier un accord bilatéral sur les investissements signé fin 2020.