Des activistes politiques tunisiens détenus dans le cadre de l’affaire dite du “complot contre la sûreté de l’État” ont annoncé leur décision d’entamer une grève de la faim à partir de ce lundi pour protester contre leur incarcération depuis un an, sans crime commis.
Dans une déclaration commune, les signataires estimant être injustement mis en prison revendiquent leur libération et l’arrêt des poursuites sécuritaires et judiciaires à l’encontre de tous les politiciens et activistes de la société civile “injustement touchés par l’oppression”.