L'année 2023 a été particulièrement "meurtrière" pour les journalistes travaillant dans les zones de conflit, avec un nombre qui a presque doublé par rapport aux trois années précédentes, selon l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), qualifiant cette hausse d'"alarmante".
"Le dernier trimestre de l'année totalise à lui seul 27 décès en zones de conflit, soit le trimestre le plus meurtrier depuis au moins 2007", indique un communiqué de l'Organisation, basée à Paris, précisant que 65 journalistes ont été tués dans l'exercice de leur métier en 2023, contre 88 l’année précédente.