L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a affirmé qu'elle ne redoute pas pour l'instant que la propagation du virus de la variole du singe au-delà des pays endémiques puisse déclencher une pandémie mondiale.
« Pour le moment, nous ne sommes pas préoccupés par une pandémie mondiale », a indiqué lundi lors d’un briefing, la principale experte de la variole du singe à l’OMS, Rosamund Lewis, estimant qu' »il est encore possible d’arrêter cette épidémie avant qu’elle ne s’étende ».
Depuis que la Grande-Bretagne a signalé pour la première fois un cas confirmé de variole du singe le 7 mai, près de 400 cas ont été signalés à l’OMS dans près d’une vingtaine de pays habituellement non touchés par ce virus.
L’OMS s’est dite préoccupée par cette « situation inhabituelle », mais a réitéré qu’il n’y avait aucune raison de paniquer.