Le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a affirmé à Genève que les violations graves des droits de l’Homme, notamment les disparitions forcées, appartiennent désormais au passé au Maroc, grâce aux résultats du processus de justice transitionnelle et aux réformes législatives et institutionnelles entreprises.
Lors du dialogue interactif avec le Comité des disparitions forcées, il a souligné que ces efforts, appuyés par la Constitution de 2011, ont permis de criminaliser ces pratiques et d'assurer des garanties de non-répétition.