Dix-neuf mois après que le Maroc, victime d’une “gigantesque entreprise de déstabilisation internationale”, a porté plainte contre certains médias français et des ONG, qui l’accusaient d’avoir utilisé le logiciel espion “Pegasus”, “aucune preuve n’a été apportée à ce jour”, a affirmé, vendredi à Paris, Me Olivier Baratelli, avocat du Royaume en France.
S’exprimant lors d’une conférence de presse sur les derniers développements de cette affaire et les actions judiciaires entreprises par le Maroc, l’avocat a dénoncé une “grande manipulation de l’information” et une “gigantesque rumeur” qui a pris pour cible le Maroc et ses administrations.