La première séance de débat général sur le Projet de loi de finances 2024 (PLF), jeudi à la Chambre des représentants, a été marquée par des divergences de positions et d’interprétations, les groupes de la majorité affirmant qu’il 2024 inaugure la mise en œuvre effective de l’État social, tandis que les députés de l’opposition ont critiqué l’ »inexactitude » et le « manque de réalisme » de ses indicateurs.
Durant cette séance au niveau de la Commission des Finances et du développement économique, tenue en présence de la ministre de l’Économie et des Finances, Nadia Fettah, et du ministre délégué chargé du Budget, Fouzi Lekjaa, les interventions des différents groupes parlementaires ont focalisé sur une série de mesures contenues dans le PLF 2024 et leurs retombées socioéconomiques.