Le président du Pérou a justifié, hier soir depuis la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies, la reconnaissance de son pays de la «République arabe sahraouie démocratique (RASD)». Pedro Castillo a inscrit sa décision, annoncée officiellement le 15 septembre, dans l’engagement permanent de Lima à «l’édification de la paix».
Une ligne politique qui, selon ses dires, se traduit pas un «appui sans concession aux droits des peuples et des territoires, qui sont placés sous le mandat de l’ONU, à l’autodétermination pour accéder à leurs indépendances». «Le Pérou a rétablit ses relations avec la République arabe sahraouie démocratique et soutient son droit à l’autodétermination», a-t-il expliqué.