Le parquet de Casablanca a donné plus de détails sur l’avancement de l’affaire des « injections oculaires » de l’hôpital 20 août du CHU Ibn Rochd à Casablanca. Les victimes souhaitent que l’affaire avance à un rythme plus soutenu, au vu de leur état de santé et des répercussions sociales qu’elles subissent.
Le procureur adjoint de la Cour d’appel de Casablanca a rencontré, ce mercredi, la porte-parole des familles des victimes pour lui fournir des informations actualisées sur le dossier qui dure depuis plus d’un an et qui concerne 16 victimes.
Les victimes et leurs familles continuent d’attendre impatiemment la suite du traitement de ce dossier qui est entre les mains de la Brigade Nationale de la Police Judiciaire (BNPJ) de Casablanca. L’enquête est toujours en cours, mais en attendant leur calvaire reste le même, après avoir subi un déficit visuel grave, perdu leur emploi pour certains, mais surtout leur autonomie.
