Le Procureur général du Roi près de la cour d’appel de Casablanca a exprimé son refus des informations sur l’implication d’institutions publiques et de responsables dans l’affaire de trafic international de drogues, communément appelée « Escobar du Sahara », et ce, en respect de la présomption d’innocence.
Dans un communiqué diffusé ce mardi, le Procureur du Roi prés de la Cour d’appel de Casablanca a dit avoir pris connaissance des contenus diffusés sur certaines plateformes de médias sociaux, qui mettent en cause des personnalités et institutions nationales dans l’affaire liée au trafic international de drogues, dans le cadre de laquelle 25 personnes ont été déférés devant le parquet, dont des personnes qui exercent des fonctions législatives, de gestion de collectivités territoriales et d’application de la loi.