A quelques encablures de la célébration de la fête religieuse de l’Aid Al-Adha, les voyageurs subissent, comme d’habitude à ce genre d’occasions, le diktat des autocars du transport routier, comme celui des grands taxis, dont les prix connaissent une revue en hausse astronomique.
Surtout pour les voyages concernant les lignes ayant une grande affluence, permettant aux citoyens de passer l’Aïd avec les leurs, dans des villes lointaines de leurs lieux de résidence habituelle. Pour exemple, la gare routière Oulad Ziane, à Casablanca, qui connaît une affluence considérable, depuis plusieurs jours, et où l’on exige des voyeurs de casquer de grosses sommes d’argent sonnant et trébuchant, sous prétexte des augmentations successives des prix des carburants.