Du 29 janvier au 5 février 2024, les notaires vont cessé leurs activités pour exprimer leur mécontentement face à l’abandon d’un projet de loi qui devait renforcer leur rôle dans le domaine immobilier. Cette grève a eu des répercussions sur de nombreux actes juridiques, notamment les mariages, qui ont dû être reportés ou annulés.
Le projet de loi en question visait à conférer aux notaires la prérogative de percevoir les fonds et les garanties liés aux opérations immobilières, ce qui leur permettrait de sécuriser et de simplifier ces transactions. Les notaires estiment que cette réforme est nécessaire pour moderniser leur profession et la rendre plus attractive.