Le ministre de la justice, Abdellatif Ouahbi, a souligné, lundi à rabat, la nécessité de trouver des peines alternatives à celles de prison, précisant que le bracelet électronique représente une alternative de choix.
Dans une réponse à une question orale à la Chambre des représentants sur « l’application des peines privatives de liberté aux auteurs de délits mineurs », M. Ouahbi a affirmé que toute infraction commise n’entraînera pas nécessairement une peine de prison.
« Nous avons besoin de peines alternatives qui offrent au prisonnier la possibilité d’apprendre », a-t-il déclaré, notant que plus de vingt pays ont mis en place des lois consacrées aux peines alternatives.