La révolte des futurs médecins constitue depuis longtemps un défi majeur pour le gouvernement, en particulier le ministère de la Santé. Ces étudiants, véritables piliers des centres hospitaliers universitaires (CHU), se retrouvent fréquemment au chevet des patients, souvent en raison du déficit de professionnels de la santé au sein de nos structures hospitalières. Aujourd’hui, ils élèvent la voix.
Il s’agit de leur premier mouvement de contestation depuis 2019, année pendant laquelle ils ont boycotté les travaux pratiques, travaux dirigés, ainsi que les examens. Ils revendiquent leur droit à une formation de qualité et à des infrastructures adaptées à leurs besoins.