L’affaire de l’enseignante à l’école Honoré de Balzac de Kénitra, qui a été accusé de partager avec les enfants de sa classe des contenus offensants et malsains à « caractère sexuel », connait du nouveau.
Selon le bâtonnier et avocat Me Abderrahim Jamai, qui représente la défense des victimes, a indiqué que l’administration de l’école Balzac à Kénitra, « et avec toute responsabilité, a mis fin aux services de l’enseignante impliquée dans des comportements contraires à la méthodologie éducative à l’encontre des enfants ».