L’œuvre de Rachid El-Daïf est traduite dans plusieurs langues. Elle explore le quotidien des mœurs arabes face aux défis de la mondialisation.
L’écrivain libanais Rachid El-Daïf vient d’être distingué par le 44e Moussem culturel international d’Assilah qui se poursuit jusqu’au 26 octobre. Le jury du «Prix Mohamed Zafzaf du roman arabe» lui attribue le trophée de la huitième édition. Cette distinction est une reconnaissance du parcours de l’auteur qui a présenté, quatre décennies durant, la scène littéraire arabe avec «des publications diversifiées, riches et convaincantes». «Le jury présidé par le critique marocain Saïd Yaktine a choisi à la majorité les récits de Rachid El-Daïf, après de profondes délibérations et concertations autour de plusieurs autres œuvres littéraires d’auteurs(es) arabes», indique le Moussem d’Assilah.