Un mariage presque parfait peut-il résister à l’usure du temps et au poids de la famille et des traditions ? C’est autour de cette question que se construit la trame du nouveau roman de Tahar Ben Jelloun « Les amants de Casablanca », qui a été présenté mercredi soir à Rabat.
Lors d’une rencontre-débat organisée par le Book Club Le Matin, le romancier et poète franco-marocain a indiqué avoir voulu, à travers l’histoire de Nabil et Lamia, un couple bourgeois dont le mariage est au bord de l’implosion, critiquer l’ »énorme poids » de la famille et des apparences sociales qui condamne à l’échec bien d’unions qui auraient pourtant tout pour réussir.