La directrice générale de l’ONHYM s’est félicitée de l’implication totale dans ce projet des pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Le projet stratégique du Gazoduc africain atlantique (Nigéria-Maroc) est en train d’avancer d’une manière «extrêmement favorable», et ce, grâce à l’engagement de l’ensemble des pays traversés, a souligné la directrice générale de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Amina Benkhadra.
Émanant de la vision du Roi Mohammed VI et de l’ex-président du Nigéria, Muhammadu Buhari, et soutenu par le président Bola Tinubu, ce projet a une portée véritablement stratégique, dans la mesure où il va contribuer à accélérer l’accès à l’énergie pour des pays de cette sous-région africaine, étant donné que certains pays ont un taux d’électrification inférieur à 40%, a précisé Benkhadra dans une déclaration à la MAP, en marge des travaux d’un atelier régional d’examen et de validation de l’Accord intergouvernemental (IGA) et de l’Accord Pays Hôte (HGA) de ce projet (27 au 30 août).