Les perturbations ont été de courte durée et n'ont pas affecté les vols ou les passagers. Pourtant, ce piratage met en évidence les efforts que les entreprises doivent déployer pour enquêter sur des incidents mineurs et contester les affirmations concernant leurs effets.
Il y a quelques jours, Killnet (un groupe de hackers russes) s'est attribué le mérite des cyberattaques qui ont brièvement perturbé les sites web de plusieurs aéroports américains cette semaine.
Les hackers russes jouent les troubles fêtes
Lundi 10 octobre, les sites web des aéroports de New York, Des Moines, Atlanta, Los Angeles et Chicago (O'Hare et Midway) étaient inaccessibles à cause d'une cyberattaque de faible ampleur. Les hackers russes de Killnet se sont vantés d'être à l'origine de ces attaques par déni de service (DDoS). Les perturbations ont été de courte durée et n'ont pas affecté les vols ou les passagers. Pourtant, comme l'explique le Wall Street Journal, ce piratage met en évidence les efforts que les entreprises doivent déployer pour enquêter sur des incidents mineurs et contester les affirmations concernant leurs effets.