Les grands modèles de langage (LLM) utilisés par l’intelligence artificielle (IA) générative ont « une propension inquiétante à produire des stéréotypes de genre« , met en garde une étude dévoilée, jeudi, par l’UNESCO, à la veille de la journée internationale des droits des femmes.
Intitulée « Préjugés contre les femmes et les filles dans les grands modèles de langage », cette étude examine les stéréotypes dans les grands modèles de langage, les outils de traitement du langage naturel qui sous-tendent les plateformes d’IA générative les plus répandues, indique un communiqué de l’Organisation onusienne, basée à Paris.
Elle présente des « preuves incontestables » de préjugés à l’encontre des femmes dans le contenu généré par chacun de ces grands modèles de langage, ajoute la même source.