Les élèves d’un institut universitaire français devaient rendre un devoir de marketing. L’enseignant a remarqué que les copies “ne comprenaient pas la moindre faute d’orthographe, ou alors étaient composées de phrases recherchées”.
Une professeure de l’IUT Charlemagne de Nancy, en France, a décidé de ne pas corriger les copies de ses 120 élèves de première année de BUT (bachelor universitaire de technologies). La raison invoquée est l’usage excessif du logiciel d’intelligence artificielle ChatGPT par les étudiants.
”Il s’agit d’une promo d’environ 120 étudiants de première année […] qui devaient rendre un document écrit sur le thermalisme”, a expliqué, lundi, Samuel Cruz-Lara, le directeur de l’Institut.