A l'approche d'échéances cruciales concernant l'année scolaire en Tunisie qui tire à sa fin, le bras de fer entre le ministère de l'Education et les syndicats du secteur atteint son paroxysme, laissant planer plus que jamais le spectre d’une année blanche au grand dam de plus d’un million d'élèves.
Malgré des négociations marathoniennes ayant tenu en haleine l’opinion publique en Tunisie, les partenaires sociaux campent toujours sur leur position, faute de consensus autour des revendications du personnel du secteur qui refuse toujours de remettre les notes des élèves, en guise de protestation contre la détérioration de leurs conditions.