Les autorités environnementales russes ont avancé, lundi, la thèse de l’asphyxie par des émissions de gaz naturel pour expliquer la mort de milliers de phoques, dont les cadavres ont été découverts le long des côtes de la mer caspienne au Daghestan, au sud de la Russe.
« En effet, les scientifiques avancent exactement cette hypothèse », a annoncé la cheffe du Service fédéral russe de surveillance des ressources naturelles (Rosprirodnadzor), Svetlana Radionova, sur la chaîne de télévision « Rossiya 24« .
« Jusqu’à présent, aucune pollution de l’eau n’a été constatée », a affirmé la responsable, ajoutant que les échantillons prélevés ne montraient aucune pollution de l’environnement. « Nous n’avons observé aucune pollution de l’environnement. (…) A ce jour, les scientifiques n’ont pas observé d’intoxication aiguë chez les animaux », a-t-elle fait savoir.