À l’occasion de la Journée internationale des droits humains, un collectif d’associations et de citoyens tunisiens et algériens a dénoncé avec force la régression inquiétante des droits humains et des acquis démocratiques dans leurs pays respectifs.
Face à des régimes oppressifs depuis 2019, l’Algérie et la Tunisie ont enregistré un net recul des libertés et des restrictions croissantes. Les organisations signataires du communiqué dénoncent des lois liberticides, révisions constitutionnelles, répression des voix dissidentes et emprisonnement arbitraire de militants et défenseurs des droits humains.



