Les mécanismes de l’ONU ont conclu à la responsabilité de l’État algérien dans la disparition forcée de Boubekeur Fergani, appelant à l’ouverture d’une enquête transparente pour faire la lumière sur sa disparition, a indiqué l’ONG "Alkarama", basée à Genève.
« Au cours de sa 135ème session, qui s’est déroulée à Genève du 27 juin au 27 juillet 2022, le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a conclu à la responsabilité de l’État algérien du fait de la disparition forcée de Boubekeur Fergani dans les années 1990 à la suite d’une communication d’Alkarama en date du 26 mai 2016, souligne l’ONG dans un communiqué.