Une récente étude a indiqué que la température dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA) arrivera jusqu’à 50 degrés, à l’avenir, ce qui rendra certaines zones invivable. A la fin du siècle, ceci multipliera par soixante les décès causés par ce réchauffement, si des actions ne sont pas menées pour le limiter.
Une étude publiée cette semaine dans la revue scientifique The Lancet Planetary Health montre que la réduction du réchauffement climatique dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) pourrait éviter 80% des décès liés aux températures élevées. En effet, cette zone est l’une des plus vulnérables face aux effets négatifs des dérèglements. Les conséquences de ces derniers sur la santé publique n’ont cependant pas été analysées par rapport à d’autres régions, indique l’étude.