Un émissaire américain, Tom Barrack, s’est déclaré lundi « satisfait » par la réponse des autorités libanaises à sa demande de désarmer le puissant Hezbollah pro-iranien, qui sort affaibli d’une guerre avec Israël.
Au cours d’une conférence de presse à l’issue d’une réunion avec le président libanais, Joseph Aoun, M. Barrack a par ailleurs averti le Liban qu’il serait « laissé de côté » s’il ne rejoignait le camp du changement dans la région, prenant l’exemple de la Syrie voisine qui a engagé selon lui un « dialogue » avec Israël.