Les États-Unis ont annoncé le 12 juillet avoir tué le chef du groupe État islamique (EI) en Syrie lors d’une frappe de drone dans le nord-ouest du pays, un nouveau coup porté à l’organisation jihadiste.
Maher al-Agal, présenté comme « l’un des cinq plus hauts dirigeants » de l’organisation djihadiste, a été tué alors qu’il roulait à moto près de la ville de Jandairis. Il était « chargé de poursuivre de façon incisive le développement des réseaux du groupe EI hors d’Irak et de Syrie », a affirmé le porte-parole du commandement central américain au Moyen-Orient, le colonel Joe Buccino.
Le président américain Joe Biden s’est félicité dans un communiqué du succès de l’opération qui « élimine un terroriste clé » et qui « affaiblit de façon considérable la capacité du groupe EI de préparer, financer et conduire ses opérations dans la région ».