Cette semaine a marqué le début d’un nouveau cycle de dialogue social initié par le chef du gouvernement Aziz Akhannouch. Cependant, l’Union nationale du travail au Maroc (UNTM) a vivement critiqué ce processus, dénonçant ce qu’elle considère comme une « partialité flagrante du gouvernement et une exclusion des syndicats sérieux dont les positions divergent de celles du gouvernement sur la situation sociale difficile« , selon ses propres termes.
Par le biais de son conseil national, l’UNTM, bras syndical du Parti de la justice et du développement (PJD), a mis en garde contre « toute réforme des régimes de retraite qui serait préjudiciable à la classe ouvrière marocaine« , exhortant le gouvernement à adopter une approche participative dans le dialogue social.