La dépêche dont s’est fendue l’agence propagandiste algérienne “APS” à l’issue de l’entretien du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres avec le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, lundi à New York, est un cas d’école dans les instituts et les think tanks qui dissèquent les Fake News et la désinformation dans l’arène médiatique.
Sans vergogne, ni égard à la déontologie et au b. a.-ba du journalisme, l’agence algérienne de presse s’est arrogée le droit de travestir la réalité en imputant au chef des Nations Unies des propos qu’il n’a pas consignés dans le communiqué officiel rendu public à la même occasion par le bureau de son propre porte-parole et que ni le Secrétaire général ni l’ONU n’ont jamais tenus.