Dans un communiqué publié mercredi, le SG du PJD se défend d’avoir « un agenda partisan interne » sur la question palestinienne, évoquant son droit à la « liberté d’expression ».
Le communiqué explique que les positions du parti « s’exercent dans le cadre de la liberté d’expression garantie sous toutes ses formes par la Constitution ».
La direction du parti assure « ne pas s’écarter de ses positions fermes et fréquentes en soutien à la cause et au peuple palestiniens ni de son rejet de la normalisation » entre le Maroc et Israël, tout en affirmant « accepter les observations et mises en garde émises par Sa Majesté », selon le communiqué.