Pegasus :  L’Espagne rejette les accusations contre le Maroc

Pegasus :  L’Espagne rejette les accusations contre le Maroc

Les services de renseignement espagnol ont rejeté la théorie selon laquelle le Maroc est impliqué dans le piratage du téléphone du premier ministre, Pedro Sanchez. Les accusations contre le Maroc ont été précédées après que le consortium Forbbiden stories, un groupe de journalistes, ont accusé le Maroc d’avoir mis sur écoute des autorités politique et journalistes français. Aujourd’hui, le Centre national de renseignement espagnol (CNI) balaie d’un revers de main les accusations du Maroc.

L’affaire Pegasus, qui avait déclenché une tension entre le Maroc et Forbbiden Stories, n’a pas eu l’effet boomerang en Espagne, comme l’avait souhaité le Consortium de journalistes et quelques ennemies du Royaume tapis dans l’ombre. Cette volonté c’est sans compter avec Madrid qui vient de donner une réponse claire à une entreprise de manigance contre l’image du Maroc.

Cette réponse espagnole intervient au moment où Pedro Sánchez, a expliqué la semaine dernière au Congrès espagnol que le changement historique de la position espagnole sur le Sahara, près de deux mois après de « tournant », ajoutant que le pris le parti pour Rabat est « la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution du différend ». Sánchez a souligné que la nouvelle relation avec le Maroc laisse « hors de doute ».

Selon les informations du CNI, publiées par le journal « El Confidencial » et repris par Marruecom.com, les interprétations qui sont diffusées sur la décision de Sánchez sur le Sahara, qui a conduit à une crise diplomatique avec l’Algérie, sont « erronées » et découlent du fait que le Maroc a pu pirater le téléphone du président du gouvernement et exploiter les informations qui sont arrivées pour le faire chanter et le pousser à déclarer son soutien au plan d’autonomie.

cndp

Déclaration N° : D-NL-189/2020

Dossier presse : 2022/02

Copyright ©Linformation.ma | Tous Droits Résérvés
Développé par WibDay