Depuis la rupture unilatérale par le front polisario de l’accord de cessez-le-feu de 1991, les Forces armées royales (FAR) maintiennent une posture de fermeté maîtrisée face à une série d’actions armées qualifiées comme étant de « faible intensité » à l’est du dispositif de défense marocain.
Ces provocations, marquées par des tirs sporadiques et des mouvements limités, n’ont pas modifié l’équilibre militaire sur le terrain, mais visent essentiellement à entretenir une tension artificielle dans la zone tampon.



