Les conditions de travail des agents de sécurité au Qatar, « y compris dans des projets liés à la Coupe du monde de football 2022 », sont comparées à du « travail forcé » par l’ONG Amnesty International, les autorités insistant elles sur les « progrès » réalisés.
Critiqué depuis qu’il s’est vu attribuer en 2010 la première Coupe du monde dans un pays arabe, le Qatar a mené d’importantes réformes, abolissant le système de parrainage faisant des salariés des quasi propriétés de leur employeur et instaurant un salaire minimum horaire.