Amnesty International et Human Rights Watch ont dénoncé vendredi 6 mai des interdictions «arbitraires» de quitter l’Algérie, imposées par les autorités à trois militants algéro-canadiens.
Selon un communiqué conjoint de ces deux ONG, les autorités algériennes ont empêché au moins trois citoyens algéro-canadiens de rentrer chez eux au Canada entre janvier et avril 2022. Ils les ont interrogés sur leurs liens avec le Hirak, un soulèvement populaire pacifique ayant eu lieu de février 2019 à début 2020, d’après la même source.