Des sources gouvernementales espagnoles ont rejeté les accusations sans fondement contre le Maroc ou tout autre pays concernant l'utilisation du logiciel Pegasus.
Des sources gouvernementales espagnoles, citées mercredi par l'agence de presse ''EFE'', ont qualifié de "simples spéculations" toute tentative de pointer un pays tiers, en l’occurrence le Maroc, concernant l'utilisation de ce logiciel avec pour cibles des membres du gouvernement espagnol, notamment le chef du gouvernement ou les ministres de l'Intérieur, de la Défense et de l'Agriculture. Sur quelle base ces accusations sont échafaudées ? S'interrogent les mêmes sources.