Dans un message fort et clair à l’Afrique et à l’ONU, le Japon a réitéré, pour la troisième fois en l’espace de deux jours, sa position constante de non-reconnaissance de l’entité séparatiste, et ce à l’ouverture du sommet de la 9e Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD-9), mercredi à Yokohama.
Dès l’ouverture du sommet et en prélude au début des travaux, le ministre japonais des Affaires étrangères, Takeshi Iwaya, a fait une déclaration solennelle au nom de son gouvernement, pour souligner que « la présence d’une entité non reconnue par le Japon en tant qu’État ne saurait affecter la position du Japon quant au statut de cette entité ».